La finale

le match était magnifique ! Les Espagnoles, on la possesion du ballon, sa prouve qu'il on jouer mieu que les allemands, des dribles partout, on a vu Iniesta, Sergio Bousquets, Pedro, Xavi, a la poursuite du Ballon.
Des tirs de Xabi Alonso, L'espagne en finale,c'est ce qu'il y a de mieu


***********************


Maintenant les Pays Bas se sont qualifier difficilemant face a l'uruguay qui n'on pas abondonné jusqu'a la fin du match.
Avec sa, Les Pays Bas peuvent compter sur leurs joueurs vedette dont : Robben, Sneider, Kuyt ect...


***********************


A votre avis, qui sortira gagnant ?

Rikyu Shoetsu a écrit:

Le pays bas juste car il y en a mare de ses SPANISHH x'D .

Ho oui sa c'est sur.

Moi sans hésiter les Pays-Bas il ont été bien plus fort que l'Espagne pendant tout le mondial . Ça serait vraiment moche pour eux d'en rester la de plus il ne n'ont gagner aucune sa serait le moment d'en gagner une et puis sa changerait de voir gagnait autre que l'espagne . seulement les espagnols se sont réveiller ce match contre les Allemands donc une finale a ne louper en aucun prétexte.

Allemagne 3-2 Uruguay





Sacré Paul le Poulpe, il l'avait prédit! A défaut d'enlever une quatrième Coupe du monde dimanche, l'Allemagne a décroché samedi soir une quatrième médaille de bronze lors de la "petite finale" du Mondial 2010. La Mannschaft a difficilement pris la mesure d'une sélection Uruguayenne séduisante (3-2)


Forlan, un chef d'oeuvre...

Côté sud-américain, Diego Forlan a une nouvelle fois été incontournable. Mais c'est de Cavani que la lumière est d'abord venue. Menés 1-0 après qu'un ballon relâché par Muslera dans l'axe, après une lourde frappe de Schweinsteiger, a été repris par Müller du plat du pied, les Uruguayens sont parvenus à égaliser grâce à un contre explosif. Diego Perez, combatif comme jamais avec la Celeste dans cette Coupe du monde, arrache un ballon dans les pieds de Schweinsteiger et lance Suarez. L'homme le plus controversé du Mondial profite alors de l'appel de Diego Forlan, son compère retrouvé et trop seul face aux Pays-Bas, sur la droite, pour décaler Cavani sur la gauche. Lequel n'a plus qu'à tromper Butt d'une subtile frappe croisée (29e).

Un partout à la pause, le score est logique. Les deux équipes, en proposant un jeu chatoyant et porté vers l'attaque, ont livré une première période équilibrée. Le score aurait pourtant pu être différent tant Muslera, le portier sud-américain, est fébrile dans ce match. C'est d'ailleurs sur une sortie aérienne complètement ratée que Jansen place sa tête pour permettre à l'Allemagne... d'égaliser (56e). Car quelques instants auparavant, Forlan se fend du plus beau but de la rencontre en exécutant une somptueuse reprise de volée "topée", depuis l'entrée de la surface et réparation, et directement dans la lucarne de Butt (50e).


... puis une barre

Le duo Suarez-Forlan fait des misères à l'arrière-garde européenne. Mais là où Forlan fait les bons choix, Suarez brille trop souvent par son individualisme.Côté allemand, Ozil se montre discret, tandis que Cacau, remplaçant de Klose, blessé au dos, n'est pas à son avantage. Et que maintenant une barre transversale, sur un coup franc tiré à la toute dernière seconde par Forlan (90e+3), qui les a empêchés de s'offrir une prolongation face à l'Allemagne.

Espagne Championne du Monde





Il aura donc fallu attendre la dernière demi-heure du temps réglementaire pour voir la finale de la Coupe du monde prendre enfin son envol. Avant cela, la pression inhérente à ce genre d'événement avait tétanisé des Espagnols et des Néerlandais qui jouaient très gros. Jamais sacrées dans la plus prestigieuse des compétitions internationales, les deux équipes, toutes les deux dans un 4-2-3-1, n'avaient en effet par l'intention de céder la moindre pousse de terrain.


Des Oranje à la Roja, il n'y a que le jaune...


Si les deux formations se bloquaient sur le pré, les 22 acteurs n'avaient en revanche rien perdu de leur talent pour tacler les chevilles de leurs adversaires. Et dans ce compartiment du jeu, Giovanni van Bronckhorst était le premier à dégainer avec un tacle mal senti, et par conséquent mal placé, sur Sergio Ramos, auteur pour sa part d'un râteau sur la droite de l'attaque. Mais sur le coup franc qui suivait, frappé par Xavi, le Madrilène voyait son coup de boule détourné par Stekelenburg (5e). Auteur du but du Mondial en demi-finale contre l'Uruguay, le latéral gauche du Feyenoord ne faisait que donner le ton d'une première période heurtée. Et si Busquets, en ratant une passe devant sa défense, permettait à Kuyt de frapper directement sur Casillas (8e), M. Webb, l'arbitre anglais de la rencontre, était finalement bien l'acteur qui s'employait le plus sur la pelouse en sortant 5 avertissements.


Après 10 minutes de jeu, Pedro et Iniesta permutaient sur les ailes mais les Espagnols avaient cependant un peu plus de mal à maîtriser le ballon que face à l'Allemagne en demi-finales (12e). Ramos enrhumait Kuyt sur un passement de jambe à l'entrée de la surface mais Heitinga contrait le Jobulani, une version dorée du Jabulani pour l'occasion (12e). Au rayon des mauvais gestes, Van Persie attrapait la cheville de Capdevila (14e) et Carles Puyol en faisait autant avec Arjen Robben (18e). "San Iker", lui, était imperturbable sur le coup franc de Sneijder des 40 mètres (18e). Mais après toutes ces amabilités, Mark van Bommel ne pouvait rester neutre et aiguisait ses crampons avec un tacle par derrière, sanctionné seulement d'un jaune, sur Iniesta (22e). Et quand le Munichois n'était pas dans le coup, l'homme pratiquait l'alternance avec Nigel de Jong. Après le tacle du Bavarois sur Iniesta, c'est le Citizen qui ciblait Xavi pour une intervention qui lui valait un jaune (28e).


Iker tient la baraque


Sur le plan du jeu en revanche, les créateurs n'étaient pas dans le coup. Malgré deux accélérations de Robben et Sneijder pour obtenir un corner, Van Bommel, plus doué avec ses crampons qu'avec son intérieur du pied, ratait un ballon à l'entrée de la surface, tout comme Mathijsen, pourtant bien placé sur la gauche de la zone de vérité (37e). Remuant sur la gauche ou sur la droite en fonction du placement d'Iniesta, Pedro n'était pas non plus en réussite sur sa tentative, trop éloignée du but de Stekelenburg (38e).


La seconde période laissait finalement plus de place au jeu avec 22 joueurs qui avaient enfin lâché un peu de pression pour en revenir aux fondamentaux du football. Critiqué pour sa fébrilité avec le Real Madrid lors de l'exercice précédent, Iker Casillas était en revanche bien au rendez-vous pour le match le plus important de la Furia. Deux fois abandonnés par sa défense, "San Iker" repoussait miraculeusement deux tentatives de Robben (69e, 83e). Sur la première, le Néerlandais bénéficiait d'un bon service de Sneijder pour buter sur un Casillas tout heureux de voir le ballon effleurer sa jambe droite. Sur la seconde, le retour de Puyol sur Robben était tout aussi essentiel que le plongeon du portier merengue dans les pieds du buteur. Les Espagnols pouvaient quant à eux surtout maudire leur maladresse tant Villa, contré par Heitinga (69e), et Ramos, d'une tête trop enlevée (77e), avaient eux aussi gâché deux balles de matches.


Fabregas, le détonateur


Si Casillas se faisait respecter sur sa ligne de but en seconde période, Stekelenburg, son homologue néerlandais, n'était pas en reste en prolongation. Car l'entrée de Fabregas en lieu et place de Xabi Alonso (87e) permettait aux Espagnols de monter d'un cran. Avec la fraîcheur du nouveau venu, le Gunner était à l'origine des plus belles actions ibériques, jusqu'à celle du but, le seul et l'unique, celui de la victoire. Privés d'Heitinga, logiquement expulsé après une faute sur Xavi (109e), les Néerlandais craquaient sur un service du Catalan pour Iniesta, cette fois-ci imperturbable pour placer sa frappe du droit au fond des filets (116e). Le Barcelonais se lançait alors dans une course folle vers le point de corner pour célébrer sa réalisation avec ses supporters et rendre hommage à Dani Jarque, joueur de l'Espanyol brutalement décédé l'été dernier. "Dani Jarque toujours avec nous" était ainsi écrit sur le t-shirt du Barcelonais. L'étoile, elle, ne quittera plus la tunique espagnole.