Nom du ninja : Aka


Prénom du ninja : Kazumi


Age actuel du ninja : 15


Description physique [5 lignes minimum] :
Kazumi est une jeune femme menue, au corps svelte et finement découpé en de magnifiques courbes et des muscles qui n’enlèvent rien à son apparence innocente. Ses longs cheveux de blés aux reflets argentés qu’elle laisse voleter dans les cieux coulent jusqu’au bas de son dos, et bien des mèches rebelles on entreprit de dissimuler son visage doux mais sauvage. Ses yeux racontent son passé : un sombre océan de mystères farouches souillé du sang et de la douleur qu’elle a affronté. Des yeux qui pourraient tuer, dit-on. Ses traits sévères sont accentués par la finesse de ses sourcils et de ses longs cils. Passons aux vêtements... Elle affectionne particulièrement les vêtements moulant, qui vont selon elle beaucoup mieux à sa silhouette. Elle porte habituellement des armures légères ainsi qu'un long pagne rouge.Une fille doit être prête à tout : Kazumi est armée de la tête au pieds. Ellle porte de longues bottes de cuir dans lesquelles sont toujours dissimulées une panoplie d'armes diverses : dagues, shurikens, kunais... Tout autour de ses cuisses, des lanières de cuir rouges retiennent encore d'autres armes, et de même le long de ses avants-bras. Si ce n'était que d'elle, elle aurait des poignards dans les cheveux! Non, attendez... Elle a des poignards même dans les cheveux! Mais ce n'est rien ; en plus de cela, Kazumi est maître dans le maniement du katana, et comme tout bon bretteur à nommé le sien ''Fukitama'', ce qui pourrait être traduit comme ''Libération des Âmes''. Elle utilise aussi un long fouet de cuir, l''Agiel'', qui inflige des lacérations profondes et brûlantes au moindre contact ; elle-même ne peut pas le prendre sans se blesser, à moins qu'elle porte son classique gant de fer. Bref... C'est pas le genre de fille que vous voudriez croiser quand elle est dans sa semaine

Description mental [5 lignes minimum] : Mmm...Son mental? Plus sadique que quelqu'un peut l'être. Lorsqu'elle traque sa proie, elle adore ''jouer'' avec elle durant des heures, lui faisait endurer les pires souffrances, jusqu'à ce qu'elle se tanne et l'achève. Tout au fond d'elle se cache un coeur sensible, souillé par le sang qu'elle a fait couler si souvent, un coeur à l'agonie, que même le temps ne saura libérer. Envers les étrangers, elle est un être farouche. Envers ses proies, leur pire cauchemar... Son esprit est aussi aiguisé que ses lames ; aucune énigme ne résiste à sa pensée logique. Lorsqu'on la ''connaît'' un peu, son comportement passe de sauvage à irascible, ne ratant jamais l'occasion de dénigrer quelqu'un ou de rire de lui ouvertement. Elle n'a aucun respect pour ceux qui la sous-estime, et encore moins pour ceux qui se croient supérieurs à elle d'une quelconque façon. Kazumi ne donne jamais de véritable parole, sinon sa Parole de Sang, comme elle l'appelle. Heureusement pour certains, elle ne passe pas trop vite aux armes, et préfère vous tirer les vers du nez en jouant de mots que de lames. Mais, s'il-vous-plaît, ne la contrariez pas, ou vous le regretterez... douloureusement.



Histoire [15 lignes minimums] :


Mes parents ont vécu, avant ma naissance, l’une des plus magnifiques histoires d’amour de ce monde. Enfin, selon moi. Ils avaient tout balancé en l’air pour pouvoir être ensemble ; leur vie, leurs amis, leur titres, leurs responsabilités, leur propre identité. Mes parents n’auraient jamais du se voir, mais il faut croire de le destin les réunissait peu importe leurs tentatives. Ma mère était une juunin de Kirigakure no Sato, et mon père, nul autre que le Raikage. C’est dur à croire, mais ils s’aimaient, rien de plus, rien de moins, depuis leur première rencontre. Rinki Akekazumi, Kirienne, et Shizuka Hanzaii, Raikage. Pendant des années, ils se rencontrèrent dans les montagnes, à l’abri des regards indiscrets, quand la vérité éclata malgré tout au grand jour. Ni Kumo ni Kiri n’approuvèrent cette union, aussi ma mère fût bientôt contrainte de ne plus quitter le village, de même pour mon père qui devait désormais faire face à ses tâches de Raikage. Ils passèrent des mois loin l’un de l’autre, et pourtant, leur passion ne faisait que grandir.

Jusqu’au jour où ils disparurent, sans laisser de traces.

Plus un signe de vie de la part du couple. Beaucoup en déduirent qu’ils étaient morts, désirant être ensemble pour l’éternité, aussi une sépulture fût bâtie à leur égard, où l’on inscrit << Liberté>>, le mot maître de mes parents.

C’est quelques années plus tard que je naquis, dans les blizzards glaciaux du Pays de la Neige, le vent mordant fouettant ma peau frêle de nourrisson. C’est sans doute pour cela que je me sens si nostalgique, lors de la première neige. Car, aussi triste que cela puisse paraître, mes parents m’y ont abandonné, seule, enveloppée dans une couverture, dans ce monde glacial qu’est mon pays natal. J’aurais toutes les raisons du monde pour les détester, à cause de cet unique geste qu’était de me délaisser. Cet acte qui paraîtrait inhumain aux yeux des uns, moi je le vois comme un acte d’un courage incommensurable. Quelle mère pourrait, sans aucun remords, laisser sa progéniture seule dans un monde aussi hostile? Certains diraient qu’il lui faudrait être complètement folle. Moi, je crois que c’est le plus beau cadeau qu’elle ait pu me faire, car c’est grâce à ma mère que je vis ainsi aujourd’hui, libre de tout gouvernement, libre de toutes chaînes, sans rien pour entraver mes pas, pour barrer ma route, pour m’arracher mes rêves, et pour cela, je lui en serai éternellement reconnaissante.

Ma mère m’a donné tout ce dont je pouvais rêver, au prix de son amour.

Elle m’a laissé...

Libre.


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